En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Il ne suffisait pas de perpétrer des meurtres de masse. Ceux-là effraient, mais leur excès aveugle. Les yeux se ferment et la pensée s'enfuit. Quoi ? Revivre des Oradour ou des Katyn ? Les voir de nos yeux voir ? Nul ne le peut. Ils appartiennent à l'Histoire, et sortent de notre âme.
Alors on s'en prît aux symboles, la prière en premier, car c'est notre essentiel. La protection ensuite, celle qui rassure ou qui soigne. L'enseignement enfin, celui qui ouvre nos intelligences.
Il en fallait d'autres pour marquer les esprits. L'innocence. Il fallait tuer sans motif sinon l'existence. On s'y prit à trois fois. L'innocence de ce que l'on est : on tua Sarah Halimi ; on tua celle d'être une enfant, Lola ; puis l'on voulut tuer celle de n'être rien, des
C’est arrivé ! Le 17 mai dernier, l’ambassade de France à Athènes arborait fièrement le drapeau LGBT. Certains gloseront du fait en ce lieu, et y verront peut-être un signe d’amitié avec nos amis Grecs, mais on peut s’interroger.